














Détails des oeuvres ci-après















Détails des oeuvres ci-après
La « fin de l’erreur la plus longue », revendiquée par Nietzsche, est ici proposée au travers d’un recueil de fragments prélevés à divers sources de l’œuvre Nietzschéenne, notamment du mythe de Zarathoustra, revendication du monde de l’apparence, de l’abolition de l’erreur et consécration du corps et de la terre.
C’est sur cette « grande raison », la primauté du corps, que s’étaye en tout premier lieu cet ouvrage illustré qui tente de réverbérer la pensée Nietzschéenne et de l’incarner dans la réalité d’aujourd’hui, au regard des dernières découvertes scientifiques, tout particulièrement en neurobiologie, éthologie ainsi que des philosophies représentatives du lignage Nietzschéen.
Trois schèmes de pensée s’y alternent en une tentative de « cohabitation » graphique :
L’éducation des sens dans le devenir corporel générant un flux allant dans le grand mouvement de l’univers.

52 dessins à l’encre et stylo cousus sur feuilles d’un album (28 x 33cms)
Table en bois 7 x 85 x 50 cms
Présentoir acier de 5 lamelles pivotantes en miroir
15 chaises en bois, hauteur 40 cms
2013


L’Être, vu dans sa naturalité…sans le déguisement de « l’animal apprivoisé ».
Encres et fibres sur papiers ; chapitre 16 de le Généalogie de la morale, Nietzsche.
50 x 75 cms
2013
Dans le labyrinthe infini qui fonde la philosophie de Nietszche, n’est-ce pas ce chemin de la vérité originaire, celui-là même qui veut faire de l’homme un abrégé du cosmos ? Un homme fragmenté en chemin sur son devenir, enclin aux métamorphoses qui déjouent l’ensemble des rétrécissements optiques abusant l’homme rationnel… N’est-ce pas dans ces profondeurs de l’extase dionysiaque, seul accès à l’inconscient collectif, que nous pouvons prendre conscience d’une vérité ?

Encres, fils et laine sur papiers
76 x 58 cms
2013

Encres sur papiers cousus, fil de lin.
47 x 38 cms
2013

Encres sur papiers cousus, fil de lin.
77 x 56 cms
2013

Encres sur papier cousus, fil de lin
47 x 38 cms
2013

Autour de la perspective de « l’ esprit très libre » autre pensée ascendante de la volonté de puissance dans l’œuvre de Nietzsche, jouer à faire évoluer cette construction formelle dans une totale indépendance, « liberté » du poignet, comme unique moyen de création de formes aléatoires qui s’entrelacent, se rencontrent ou cohabitent à la manière d’atomes et de simulacres dans le vide, dans une perspective où l’invisible transparaît dans le visible, là où l’immanence prend forme, et où se forment les illusions…
Huile sur toile de lin noir
146 x 97 cm
2012